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  • Parce qu'il s'en faut peut pour reconsiderer les choses .
    En un instant la musique qui bourdonne encore dans mes oreilles se prépare lentement à crier , gueuler , s'epoumoner au creux de ce vide. Complaisant parfois . Angoissant souvent.
    Nos bulles vertes dans le verre , à demi mécaniques , à demi étranglés m'offrent un semblant de bien être dans ce monde cruel qui n'a même pas daigné me laisser une minute de répis pour finir mon diabolo-kiwi-menthe , avant de m'en retourner prendre ce satané bus !
    Une bonne nouvelle qui me laisse un goût sucré dans l'arrière george et ce sourire qui s'agrippe à mes lêvres dans un souci de partage avec mon coeur qui souhaite avidement sortir brusquement de ma poitrine (!)
    Ses cheveux blonds que je me plais à photographier parce qu'ils me rappellent ceux de ma poupée en plastique d'il y'a 10 ans à qui j'ai fait subir les pires sévices cappilaires .
    Fantasme et cruauté infantil .
    Le son de sa voix qui vient troubler mes pauvres tympans et mes lêvres qui se sentent , dans l'incapacité totale de sortir quoique ce soit d'à peut près intélligible .
    L'amour rend bête , c'est bien connu (...)
    Alors s'en tenir seuleument à une vague conaissance qui nous apparait au volant d'une 2chevaux rose dans les basfonds du fantasme nocturne où la virilité atteint son degrés inpalpable de derision. Rire après coup et oublier un peu plus le reste .
    Sa frimousse qu'il me tarde de retrouver , toujours plus fort à chaque fois , parce que cette demoiselle là c'est mon sourire au coin des yeux . S'enfuir par le TER sans un gramme de romantisme . Voir ailleur si j'y suis (mieux) ? Simplement pour l'ecouter , elle et son bonheur inexprimable qui , paradoxalement se situe au delà des mots . Revisiter toute l'absurdité du monde avec elle , perchées sur son balcon , le nez sous la couette et le frisson du moment à l'air libre.



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