• le monde est petit

    Il savoure la paleur du silence , la froideur de la lucidité . Ses mains semblent vouloir saisir quelque chose dans la continuité du vide. La lourdeur de ses paupières rendent grace à ses interminables cernes expressivement neutres. Le son de sa voix  s'evannouit lentement en un silence contemplatif qui offre une sensation de bien être submergant la boite à pulsation sanguinolante. 
    Un mouvement de tête en guise d'aprobation et la dernière fibre cappilaire de son sourcil gauche fait la révolution.
    La position de son corps constitue l'absurdité de l'atome jusqu'à la cellule . L'infime partie suppéreur de ses levres s'inclinent et lui donne un air grave et désinvolte. L'homme parmis les Hommes. La decortication de son etre tout entier au detriment de l'iréel et de l'absurde.


  • Commentaires

    1
    Vendredi 4 Novembre 2005 à 16:49
    tu m'avais pas dit...
    que tu avais des nouvelles chaussures! encore des textes, encore! :p
    2
    Vendredi 4 Novembre 2005 à 16:49
    tu m'avais pas dit...
    que tu avais des nouvelles chaussures! encore des textes, encore! :p
    3
    Mardi 29 Novembre 2005 à 21:06
    Hésitation
    Et quand l'heure fragile s'évapore, dans le silence sonore, une voix hésite à s'unir, dans l'absurde désunir
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