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    " Beaucoup de reflexion et non beaucoup de savoir ,
      voilà à quoi il faut tendre " // Democrite


  • Commentaires

    1
    Mercredi 18 Janvier 2006 à 19:39
    Bang bang
    m'est qu'est ce que tu vois? Mais qu'est ce que tu vois? Mon Dieu... Mon Dieu..han han (!!)
    2
    Mercredi 18 Janvier 2006 à 19:43
    réflexion
    La psyché, le miroir, réflexion de l'être dans l'être. Au miroir de soi appréhender l'image ainsi reflétée, reflet des mondes intérieurs. Je vous souhaite beaucoup de miroirs, non déformants au possible...
    3
    anna karenine
    Mercredi 18 Janvier 2006 à 20:03
    ou bien
    lorsqu'on les croit déformants ou qu'on aimerait qu'ils le soient , ils se revelent souvent être au contraire le reflet morose et inintéressante de sa propre vie et de soi même
    4
    Mercredi 18 Janvier 2006 à 20:11
    Anna
    chut, chut.. ne pas dire de telles vérités car c'est mauvais pour la santé. Et hein? Toi même, miroir déformant ou pas, ce que tu reflètes et TRES interessant! Pas morose, pas rien. ON NE DIT PAS DE BETISES!
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    5
    Mercredi 18 Janvier 2006 à 23:15
    miroirs...
    Si tes mots sont le miroir juste de ton être (je sais qu'ils le sont), ils sont ce qui alimente cette soif, toujours intacte, que j'ai de toi, de te connaître, de te découvrir. J'ai rêvé de toi, tu voulais me voir, je ne voulais pas me montrer. Une métaphore, peut-être, peut-être ai-je encore peur de me montrer à toi alors même que tu es prête à me voir, à me recevoir d'être à être.
    6
    Jeudi 19 Janvier 2006 à 19:50
    Au secours
    ceci est un ordre, ni plus ni moins: enlève cette photo que je ne saurais voir! D'emblée, merci du fond du coeur (brisé)
    7
    Jeudi 19 Janvier 2006 à 19:51
    Post scriptum
    je ne pense pas avoir besoin de préciser laquelle...
    8
    Jeudi 19 Janvier 2006 à 20:05
    against
    Tout est essentiel à notre existence, la joie comme la peine, le drame comme la liesse. Quand bien même en nous tout se dispose et s'organise autour du bonheur, de la quête de cette intense joie, on ne peut échapper à la vie. A sa petitesse, sa sottise quelquefois. Même le malheur nous construit et nous façonne, nous prépare aux joies à venir. Sans cet espoir, cette attente d'un lendemain une existence n'est plus une existence, mais un perpétuel enfer. Et le principe de toute existence est de ne jamais être totalement ceci ou cela, autrement dit, nos vies ne sont pas vouées à être continuellement douloureuses et souffrantes, nécessairement une joie, une ivresse viendra, reviendra vous soustraire à un semblant de totalité, d'entièreté qui n'existe pas. L'absolu bonheur, l'absolu malheur ne sont pas humainement possibles parce qu'ils ne sont pas constitutivement nôtres. Nous sommes des oscillations et ce qui parfois nous tue, c'est notre impatience, à vouloir immédiatement, instantanément ce que nous souhaiterions alors porter en nous comme une éternelle certitude.
    9
    Dimanche 22 Janvier 2006 à 10:31
    Mondes
    sarah moon, paul delvaux, marie laurencin, je comprends un peu mieux votre extrême sensibilité du "vivre" en vous. Même si je ne serai jamais qu'un étranger" à votre angoisse, je ne puis qu'être ici une "paralèlle". Les parallèles dans l'infini se rejoignent en mathématique. Dans le vivant, elles essaient de se rejoindre, pour mieux supporter la verticale silencieuse de nos abîmes.
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